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 Clèves Eurydice Honnigan

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MessageSujet: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyDim 9 Mai - 18:59

Découvrez la playlist La divine nature des choses avec James Horner



Clèves Eurydice Honnigan Tezfre
(c) Keibibong

♣️ Clèves Eurydice Honnigan ♣️
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J'ai actuellement 19 ans, j'habite à San Francisco depuis peu de temps. Je suis célibataire. Je suis né(e) le 6 Janvier 1991. Je fais des études de littératures. Si on me demande dans quelle classe sociale je suis je répondrais : moyenne
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QU'EST-CE QUI A FAIT, DANS TA VIE, QUE TU SOIS UN FUCKER OU UN FUCKED ?Je me suis souvent posée cette question. Je me suis souvent demandée pourquoi je n’étais pas parmi ceux qui dansaient dans les boites de nuit, qui fumaient à tout va, qui se droguaient, qui buvaient, qui faisaient de leur corps un amusement. Je me le suis demandé, sincèrement. Et je crois avoir trouvée la réponse. Cette réponse si infime à saisir, mais juste devant nous. Il n’est pas difficile de se faire détester. De se faire rabaisser. Il suffit de sortir du lot. De sortir de ce groupe fermé. Et j’avais tous les atouts pour me différencier. D’une part mes prénoms qui…étaient très peu à la mode. J’avais des prénoms de personnage de livres. Et les livres à notre époque sont le symbole d’une liberté d’esprit qui peut faire peur. Quand on lit, on se démarque, d’une certaine façon. On accrut notre sens critique, et on se libère de nos stéréotypes. Bref. J’avais aussi une tendance aux rêves, à l’imaginaire, à l’évasion qui ne plaisait pas. Il faut dire que je suis très rêveuse. Et ces derniers temps, j’ai l’impression que seul le fait de prendre de l’ecctasy a le droit de nous porter vers des rêves…hélas ancrés dans la réalité.
Je m’embrouille certainement. Je dois vous paraitre bien floue. Veuillez m’en excuser.
Enfin pour résumer, mes parents m’ont inculquée des valeurs qui diffèrent bien trop des valeurs d’aujourd’hui. Je suis donc une Fucked. Et c’est ainsi.

AS-TU DEJA ETE DE L'AUTRE COTE ?Je ne vois pas trop l’intérêt que l’on peut avoir à être comme eux. Je ne les méprise pas, attention. Je suis plutôt indifférente à tout cela. Simplement, je ne veux pas surtout pas être à leur place. Il me semble que leur petit monde qui leur parait si stable, n’est que lubie de leur esprit. Je n’ai donc aucune envie de me plonger dans leur univers. J’ai peur de l’instabilité, même si elle est présente dans chacun de mes pas. Mais l’idée d’aller toquer à sa porte m’effraie encore plus. Donc, non, je n’ai jamais été de l’autre côté.

ADMIRES-TU LES FUCKERS ?Je serais tenter de répondre que rien chez eux, ne mérite l’admiration. Mon admiration. Seulement cela serait mentir, car effectivement il y a quelque chose chez eux...qui laisse admiratif. Ils ont cette facilité à se faire respecter qui m’étonne. Ils arrivent à imposer leurs idées, sans aucune difficulté. Ils n’ont aucun obstacle à franchir. Ils ont le droit à cette cuillère en argent dans la bouche, et rien ne peut le changer. Ils sont mettre de leur propre existence. Et pour cela je les admire. J’aimerai pouvoir moi aussi…donner l’illusion de tout maitriser. Car malgré ce que je viens de dire il y a cinq minutes, je suis consciente que leur façon de maitriser n’est qu’un leurre de grande qualité. Ils ne sont que des parfaits illusionnistes. Des magiciens.

VIS-TU UNE HISTOIRE D'AMOUR A LA ROMEO&JULIET AVEC UNE PERSONNE DE L'AUTRE GROUPE ?Absolument pas. Je ne vis pas d'histoires d'amour tout court. Enfaite, j'ai vraiment peur d'aimer, depuis...depuis Lui. J'ai l'impression que tout le monde peut me trahir, me blesser. Alors que ce soit avec un Fucker ou un Fucked, qu'importe...c'est toujours le même sentiment dans le creux de mon ventre...La peur, la peur qui me tiraille, et me tue à petit feu. Je ne fais plus confiance au monde qui m'entoure.





Clèves Eurydice Honnigan 30ae681 Clèves Eurydice Honnigan 16apeu1 Clèves Eurydice Honnigan 4hzz9 Clèves Eurydice Honnigan 2zg7xg1
(c) Misery angel

♣️ CLOSE YOUR EYES, CLEAR YOUR HEART, CUT THE CORD ♣️
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    Mes mains se posèrent sur la poignée de fer de la grande porte d’acajou face à moi. Je me retournais un instant, afin de vérifier si quelqu’un m’avait repérée, et voyant que rien d’autres que la Solitude m’entourait, j’ouvris doucement la porte massive. Un grincement se fit entendre. Instinctivement, j’arrêtais tout mouvement, et essayai de rendre ma respiration la plus discrète possible. Gestes quelques peu inutiles, car visiblement, personne n’avait entendu. Confiante, je me glissai furtivement dans l’entrebâillement de la porte, qui se referma dans un bruit sourd derrière moi. J’étais en sécurité ici. Je relevais la tête, et contemplai cet univers qui m’entourait. C’était une pièce étrange, à la forme très particulière. Le plafond était incliné, et une fenêtre y était incrustée. Celle-ci laissait passer une lumière ocre qui donnait à la pièce une atmosphère chaleureuse et vieillie. En dessous de cette petite fenêtre de bois, se trouvait un fauteuil de velours rouge qui a certain endroit avait perdu de son beau tissu. Sur ce fauteuil, se trouvait une multitude de livres. Certains semblaient neufs, d’autres étaient dans un état plus déplorable. Cependant, ce qui frappait avant tout dans cette pièce, était la quantité d’étagères contenant une incroyable quantité de livres. Les bibliothèques montaient jusqu’au plafond, et toutes étaient remplies. Les livres semblaient avoir été posés négligemment, mais si l’on observait les choses avec exactitude, nous pouvions voir que tout était parfaitement structuré. Les livres suivaient le classement des années de publication, mais aussi des auteurs. Mais ce qui donné avant tout un caractère fouillis à cette pièce, était les toiles d’araignées entre les bibliothèques de bois brute, les livres entreposés en pile sur le sol, les étagères qui craquaient sous le poids des manuscrits, des journaux, des bandes-dessinées, mais aussi des souvenirs. Il y avait aussi les lampes qui diffusaient une lumière tamisée, rendant ce lieu étrange.
    Cette pièce était une pièce vivante, tout simplement. Je m’approchais d’une pile de livres, et aperçut un étrange ouvrage à la couverture de cuir brun. Le titre était incrusté et doré. Je lisais : « La Princesse de Clèves » de Madame de Lafayette. Un sourire traversa mes lèvres. Clèves…
    Je me nomme Clèves Eurydice Honnigan et aujourd’hui, je vais vous compter un peu de mon histoire. Vous l’aurez sans doute compris mes parents étaient des amoureux des livres, des manuscrits, des bouquins, des bandes-dessinées…bref de tout ce qui pouvait être lu. Ils aimaient l’art de la lecture, aimaient dicter leur vie d’après les préceptes de leurs auteurs préférés. Mais c’étaient avant tout des artistes. Oui, des artistes. Mes parents rêvaient, imaginaient, inventaient des univers fantastiques, de monstres et de dragons. Ils écrivaient leurs histoires, et les contaient aux enfants, avec la modestie des écrivains amateurs. Ils ne prétendaient pas à arriver à la hauteur de Victor Hugo, de Balzac, de Molière,…etc. Ils se contentaient de transmettre leur imagination, avec amour. L’amour…Mes parents s’étaient rencontrés simplement. Il n’y avait rien de romantiques dans leur rencontre. Ils avaient simplement appris à se connaitre, et la passion des livres, des idées avaient fait le reste. Ce n’était qu’une rencontre. Une rencontre banale, sans aucune originalité. Mais une rencontre de deux êtres loufoques. Une rencontre qui avait conduit à l’aboutissement d’une vie.
    Aussi simple que le reste, je naquis le 6 janvier 1991. J’aurais pu naitre un vendredi 13, un 25 décembre, un 11 novembre, un 14 juillet. Je m’étais contentée de cette petite date fragile qui tanguait dans la nouveauté, et la mélancolie. L’année nouvelle, l’année passée. Mes parents furent heureux de m’avoir. Ils aimaient les enfants. Ils allaient encore plus aimés le leur. Mais ils aimaient avant tout leur passion. Je grandis donc dans mon univers, parmi des parents souvent occupés à lire. Je ne m’en plaignais pas. Ils me partageaient leur amour. Nous vivions simplement. Je lisais, je m’inventais des amis imaginaires, des fées, des créatures. J’étais une enfant vivant dans le parallèle. Une enfant rêveuse et peu consciente de la réalité.
    Lorsque je fus en âge d’aller à l’école, mes capacités mentales furent remises en cause. Non pas que j’étais une idiote, mais je paraissais très tête en l’air, dans la lune. Oh, je n’étais pas antipathique, et mes professeurs me trouvaient très attachante. Simplement, je ne m’intéressais pas à l’école. On me traça un avenir sans grande ambition. Je serais une petite fille qui ne passerait sans doute pas l’année de la troisième. Je n’étais pas destinée aux longues études, d’après les grandes personnes. Ces grandes personnes qui ne savaient juste plus observer, ou mal. Ils n’avaient pas vu en moi, cette enfant un peu délaissée de ces parents, solitaire, un peu perdue dans cet univers de « Grands ». Ils n’avaient pas vu cette enfant cultivée, qui aimait lire, qui aimait apprendre, mais qui n’appréciait pas rester assise pour le faire. Pas cette enfant curieuse. Ils se contentaient des apparences. Je grandis donc simplement. Je n’étais vouée à aucun grand avenir. Je n’avais que des amis fictifs. Mais j’étais heureuse. Heureuse à en crever. Je vivais, je vivais comme je le souhaitais. Avec mon règlement, avec mes idées, avec mes limites (ou non-limites). Et cette façon de vivre ne plaisait pas. J’étais « différente ». J’étais « autiste ». J’étais simplement une rêveuse ayant des parents de la même trempe. Des parents qui m’avaient appris à vivre avec Imagination. Des parents qui m’avaient rendu un peu plus ouverte sur le monde qui m’entourait. Certes, je ne regardais pas Pokémon à la télévision, comme tous les autres enfants, mais j’étais tellement plus érudit qu’eux. Ce qui était simplement désolant, ce que l’on me prenait pour une simple d’esprit. Je n’étais pas un stéréotype. Je n’étais pas comme les autres. Je n’étais pas « dans le groupe ». J’étais hors classement, et dans le mauvais sens du terme. C’était ainsi.
    On me diagnostiqua comme autiste, ayant le syndrome d’Asperger. Mes parents ne s’en inquiétèrent pas et rirent aux nez des médecins. La différence est une maladie visiblement. Je devais quand même prendre des médicaments. Et cette « maladie » me rendait vulnérable. C’est à partir de ce moment que mon bonheur se déclina. Moi qui était expansive et joyeuse, je devais discrète, et renfermée. J’appris à me fondre dans la masse. Je devins une excellente élève, un peu blasée de toutes ces choses. Je sautais la classe de 5ème, sans aucune difficulté. J’étais vouée à un avenir beaucoup plus brillant tout d’un coup. J’étais devenue comme les « Autres ». Ou du moins, j’arrivais très bien à jouer ce rôle. Mes rédactions étaient des platitudes adolescentes. Je ne voulais plus exprimer cette folie qui m’avait tant habitée. On me dit soigner de la maladie des autistes. Oui, c’était tellement plus facile de faire semblant d’être un stéréotype…


    « Clèves ? Euh…Pardon, est-ce une plaisanterie ?
    -Non, je me prénomme bien Clèves Eurydice.
    -Oh ! Hum…Vous avez sauté une classe non ?
    -Oui, effectivement. » La rentrée. Mon regard ne brillait pas. Je trouvais la rentrée d’une banalité affolante. C’était le signe du retour vers le monde stéréotypé. J’avais passé des vacances fabuleuses. Lire dans l’herbe, le soleil tapant contre ma peau. J’avais retrouvé le bonheur qui m’avait quittée pendant longtemps. Je sentais les pouffements de rire autour de moi. Mes prénoms suscitaient toujours des rires. Même après 17 ans sur cette Terre. Je décidais d’ignorer. J’avais appris à me fermer aux autres. Une huitre.
    Les mois passèrent. Ma petite vie continuait. J’étais dans mon monde, totalement renfermée. Je suivais les autres. Ils ne me prêtaient aucune attention. Je ne m’en plaignais pas. J’étais au contraire plutôt satisfaite. Il n’y avait aucune pour que l’on m’embête. Les professeurs, eux, me considéraient comme les autres. Aucune pointe d’admiration face à ma culture générale avancée. Cela dit, je dissimulais tout cela avec soin. Lorsque mon professeur de français parlait d’un livre que j’avais bien entendu lu, je me contentais de dire, que j’en avais entendu parler. Inutile d’étaler. J’avais réussi à devenir une ombre. Mon monde imaginaire n’avait aucune importance lorsque je n’étais pas chez moi. Je l’avais coffré dans une malle. J’étais une fille comme les autres. Peut-être un peu moins joyeuse, et totalement fermée. Mais une chose me plaisait depuis cette année. Lui. Il était un bout en train. Il était le « rigolo » de la classe. Mais il me plaisait. Comme rarement quelqu’un m’avait plu. Avec l’âge je m’étais embellie. Je plaisais un peu plus aux garçons, mais ils étaient souvent barrés par ma froideur, et par mon côté invisible. Mais Lui…m’avait remarquée et m’avait parlée. Et ça, c’était quelque chose. Le temps passa, et dans le filet du diable je tombais. J’étais consentante. Cela faisait des mois que nous parlions par MSN et par SMS. Je l’aimais. Et j’étais pleine d’illusions. J’avais déjà lu des romans « galants » (érotiques), et je m’étais un peu renseignée sur le sujet. Cela me semblait comme une expérience merveilleuse. Les romans du style romantique en faisait une description toute en poésie. Mais la réalité m’a fait prendre conscience de beaucoup de choses. C’était une mauvaise expérience. Il m’avait jetée après. J’étais devenue un être souillée en quelque sorte. Il a violé mon esprit, mais hélas ce n’était que dans mon âme. J’avais accepté. C’était ma faute. Le manque d’éducation de mes parents face aux épreuves de la vie portait ses fruits. J’étais mal. Souillée. Je ne pouvais même pas avoir le soutien de mes pairs. Je passais pour une catin. Je ne pouvais même pas prétendre au viol. Il avait joué de moi. A la suite de cette malheureuse aventure, je décidais de partir. Ma vie ici était terminée. Je sentais mon être qui se déchirait à petit feu. Baisée par les autres. Depuis longtemps j’avais été un être fragile. Je le restais encore. Mais il fallait que je m’éduque. Je me mettais à la lecture de livres naturalistes et réalistes. Zola m’apportait un certain soutien. Il décrivait les choses avec beaucoup de réalismes. J’apprenais à vivre petit à petit avec ce corps trop vite aux proies de mains masculines. Ce corps qui avait été donné sans retenue et jeté sans honte. Ce corps qui n’osait plus être frôlé, être montré. Ce corps qui avait du mal à se voir dans un miroir. Ce corps qui avait fait naitre des démons. Ce corps qui m’avait plongée un peu plus dans le mutisme. Je partais donc, vers un lieu loin de Londres. Je ne voulais plus…Mes parents ne se doutèrent pas de ce que subissait mon être. Ils avaient vu depuis longtemps, ma dégradation. Ils pensaient juste que la perte des illusions m’était très douloureuse. Ils n’avaient pas compris que la vie était difficile. Malgré leur lecture diverse, ils n’avaient pas vu la vraie réalité. Ils faisaient les naïfs, je crois. Je les pardonnais. J’étais un être excessif.

    Je vis maintenant dans un appartement de bonnes. Je fais des études de littératures, mais j’ai fait deux ans pendant mon lycée, un séjour à une école d’art. Je souhaite, je rêve, de devenir une artiste visuelle. Je continue mon existence dans l’ombre. Je suis le mystère, et je suis renfermée. Je ne suis qu’une ombre et une pensée. Je suis l'actrice d'une tragédie.





Spoiler:




Dernière édition par Clèves E. Honnigan le Lun 10 Mai - 21:10, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyDim 9 Mai - 19:00

Dans avatar, il faut mettre ta célébrité ;)
Bienvenue (aa)
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyDim 9 Mai - 19:03

Merci (Cela faisait dix minutes que je cherchais l'intérêt de foutre le lien de notre avatar là xD! Visiblement, je me suis légèrement trompée sur l'utilité de cette case ==')
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyDim 9 Mai - 19:11

    CLEMENCE plz
    J'avais hésité avec elle lors de mon inscription (x.
    SO! bienvenue et bonne chance pour ta fiche Very Happy
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyDim 9 Mai - 19:14


    lovelovelove
    Bonne chance pour le reste (aa)
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyDim 9 Mai - 19:16

E. Sid Hurtwood a écrit:
    CLEMENCE plz
    J'avais hésité avec elle lors de mon inscription (x.
    SO! bienvenue et bonne chance pour ta fiche Very Happy
CLÉMENCE glourps
BIENVENUE, bonne chance pour ta prézaaa.
Sunnyyyy, ça m'aurait fait trop bizarre de te voir toi en Clémence et moi en Luke lmao Arrow
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyDim 9 Mai - 19:17

Merci tout le monde What a Face I love you
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyDim 9 Mai - 19:17

    Ouiiiii, la même! xD. Raaah, si j'avais su, hein (x. On aurait fait le même lien trop fort t'sais!
    EH! mais on peut faire un truc du genre avec Digory et Sid?
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B. Andrea Silverstone

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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyDim 9 Mai - 20:49

N'oublie pas de te faire recenser ;)
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyLun 10 Mai - 19:02

Ah Clémeeeeence ♥️♥️♥️
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyLun 10 Mai - 19:24

Je crois bien que j'ai terminé! alomora
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyLun 10 Mai - 20:49

    Anh Clémence plz jamais prise, j'aime ça (:
    d'ailleurs en vrai elle est pas belle O.O
    bonne chance pour ta fiche I love you
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyLun 10 Mai - 21:01

Hum, mais sur les photos, elle est trop belle, toute fragile. Exactement comme mon personnage! =D
Et j'ai finit ma fiche!
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B. Andrea Silverstone

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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyLun 10 Mai - 21:04

Ta fiche est très belle, mais il faudrait compléter la dernière question ;)
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyLun 10 Mai - 21:12

Hum....Je pense que cette fois-ci c'est bon...(J'ai parfois l'impression d'être un boulet pas possible =='...Je n'ai pas bien compris ton message précédent, alors j'ai complété la seule partie qui me semblait floue xD) 69master
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan EmptyLun 10 Mai - 21:15

Oui, c'est ça I love you
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MessageSujet: Re: Clèves Eurydice Honnigan   Clèves Eurydice Honnigan Empty

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