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| Sujet: Douce coincidence [Elliot] Mer 26 Mai - 19:56 | |
| Un pale soleil venait de se lever dérrière les buttes de San Fransisco. Guillaume était déjà debout depuis plus d'une heure. Insomniaque, il ne dormait que très peu et cela lui convenait. Il avait apprit a utiliser au maximum du temps qu'il avait pour profiter de la vie. Il avait passé 6 mois en prison et cette durée lui avait semblait anormalement longue, si bien qu'as sa sortie, il avait constaté que rien ne servait de "glander", le mieux était de profiter, de bouger, de vivre. Mais cette insomnie, il ne l'avait pas choisie, elle faisait partit de lui depuis ce fameux jour...Ce jour ou sa vie bascula dans les ténèbres, ou une partie de lui même se brisa. Guillaume se leva prestemment et se dirigea vers la cuisine. Il en était a son deuxième café de la matinée et déjà, il sentait tous ses nerfs en eveil. Il atrapa un paquet rouge et blanc sur la bar et en sortit une cigarette. L'allumant gracieusement, il tira une première latte. Il avait conscience de fumer beaucoup trop, ainsi que de consommer une trop forte dose de caféine. Mais ces drogues lui était nécéssaire, sans elles, il s'éffondré. Guillaume traversa la large pièce de son loft fransiscain et ouvrit la baie vitrée de son balcon. Il avait la chance d'avoir une vue splendide sur la mer, mais aussi sur ce miniscule espace de terre, le parc. Savourant sa cigarette acoudé a la balustrade, il se mit a révasser. Ecrivain, il avait toujours eut la tête dans les nuages, n'ayant les pieds sur terre que lors de grave crises. Ce côté poète lui valait quelques surnoms, mais aussi une réputation d'amoureux tranquil. Pourtant, dieu sait que l'amour n'était plus une de ces prioritées depuis un moment. Il se contentait de partager le lit de quelques femmes consententes et repartait au petit matin. Son train de vie lui convenait, il ne demandé rien de plus. Il s'épanouissait dans son travail, comme dans sa vie sociale et ce calme la était pour lui une délivrance.
Ecrassant sa cigarette, Guillaume referma la porte du balcon et partit prendre une douche. L'eau bouillante ne lui fit rien et il y resta un bon moment avant de suffoqué par la buée ambiante. En sortant de la douche, son regard se posa, comme a chaque fois, sur sa cicatrice a l'épaule gauche. Cette entaille aussi grosse que le poing lui prenait toute l'épaule. Amerement, il repensa a sa cause et il serra les dents. Après c'être parfumé puis laver les dents, il partit s'habiller. Dans quelques heures, il devait aller travailler. Son métier lui plaisait réellement, mais sa vrai passion était d'écrire. Son roman avait fait un vrai carton et aujourd'hui, il se battait pour ne pas devenir une icone médiatique. Atrapant sa veste, il descendis les 3 étages du viel entrepot dans lequel il logeait. En vérité, cet entrepot était a l'abandon depuis plus de 3 ans avant que Guillaume ne propose de le retaper. Avec l'argent de son livre, il avait put largement rentrer dans ses frais. Il c'était occupé de refaire l'étage supérieur, le rendant vivable. L'espace qu'il occupait frolé la folie mais le loft était baigné de lumière. Guillaume n'était pas peu fière de son travail, il se sentait chez lui, même sa vie de parisien lui manquait.
Guillaume débarqua au rez-de-chaussé ou une sublime moto bleu argenté l'y attendait. Guillaume ouvrit la soute et y flanqua ses affaires avant d'enfourcher le bolide et de démarrer comme une fusée en direction du collège de la ville. Il y était enseignant depuis un an. Sa jeunesse était un véritable atout pour ses jeunes qui commençait a aimer ses cours autrefois dit rébarbatifs. Guillaume ne passa même pas par la salle des professeurs. Il avait du mal a rentrer en contact avec l'équipe pédagogique pour la simple et bonne raison qu'ils ne démontraient rien. Ces enseignants se contentaient de donner leurs cours et de quitter au plus vite leur classe, un comportement que Guillaume jugeait décevant. Il arriva, comme d'habitude, avec 5 minutes de retards. Ses élèves étaient calmes et cela le mit de bonne humeur. Guillaume était proffeseur de français ainsi que d'italien. Même si il préférait parler la langue de molière, l'italien faisait partit de lui et il aimait a le parler. Son cour se déroula paisiblement et il surprit même quelques "cas déséspéré" écouter attentivement. A 12h00, il avait finit pour la matinée et son prochain cour n'était qu'as 15h00.
Guillaume sortit donc du collège mais au lieu de prendre sa moto, préféra marcher un peu et rejoindre le centre. Il eut soudain une envie de frite et se paya un cornet, ainsi qu'un beignet. Il fera de l'exercice plus tard. Puis vers 13h00, il mourrait d'envie de boir un café. C'est la qu'une enseigne de bonne augure lui sauta au yeux. Le vélo rouge café avait un côté assez rétro, mais le service était impécable et le café exelent. Assis en terasse, Guillaume venait d'allumer sa seconde cigarette quant une silhouette familière passa devant lui, les yeux fixés sur son portable. Il ne lui fallut que quelque seconde avant d'y mettre un nom. Sautant de sa chaise, il la ratrappa en quelque enjambés.
Elliot ? C'est bien ça ? |
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