J'ai actuellement 23 ans, j'habite à San Francisco depuis toujours. Je suis célibataire. Je suis née le 11 mars 1987. Je débute dans ma carrière de psychologue. Si on me demande dans quelle classe sociale je suis je répondrais : moyenne
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QU'EST-CE QUI A FAIT, DANS TA VIE, QUE TU SOIS UN FUCKER OU UN FUCKED ? Je me considère dans cette catégorie tout simplement parce que je n’arrête pas de me faire avoir. Je ne sais vraiment pas comment ça se fait, qu’est-ce que j’ai pu faire pour en arriver là, mais j’en ai marre, d’être une fucked. La plupart du temps, c’est par les mecs, que je me fais avoir. J’suis peut-être un peu trop naïve qui sait. Je m’attache aux gens trop vite aussi et puis finalement, je me rend compte que j’aurais pas du, et je me retrouve seule, encore une fois. Avec le temps, j’ai appris à faire avec. Mais faut vraiment que je me ressaisisse et que je passe de l’autre côté. J’y arriverais peut-être, un jour. AS-TU DEJA ETE DE L'AUTRE COTE ? Je crois. Petite, j’étais pas comme ça, je ne me laissais pas faire aussi facilement. J’avais mon petit caractère, je ne me laissais pas envahir par mes émotions. J’avais un but, et je faisais tout pour l’atteindre peut importe les autres. Depuis, j’ai grandi, ma mère est morte aussi donc j’ai changé. Maintenant je suis vulnérable, naïve et je me fais avoir. (question pour fucked) ADMIRES-TU LES FUCKERS ? Je ne sais pas trop. D’un côté, c’est vrai, ils ont de la chance, ils ont le bon rôle dans l’histoire. Jamais ils ne pourront être vulnérables, car c’est eux qui font du mal. Mais d’un autre, si j’étais moi-moi un fucker, je n’arriverais pas à me regarder dans la glace. Ils savent qu’ils font du mal autour d’eux et ils continuent malgré ça, tout ça pour être du bon côté. Donc non, je ne les admire pas. VIS-TU UNE HISTOIRE D'AMOUR A LA ROMEO&JULIET AVEC UNE PERSONNE DE L'AUTRE GROUPE ? Non...C'est vrai, j'ai quelques sentiments pour une personne de l'autre groupe, mais on a jamais vraiment été ensemble et puis, c'est qu'un con.
(c) mymz
CLOSE YOUR EYES, CLEAR YOUR HEART, CUT THE CORD - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Je suis à l'hôpital depuis maintenant trois jours. Je n'ai presque pas fermé l'œil depuis que je suis arrivée, mais ce n'est pas grave. Ce qui compte, c'est que je sois auprès d'elle, auprès de ma mère. Je suis encore petite pour comprendre tous les trucs de grands, mais avec cette maladie, je suis bien plus mature que la plupart des autres filles de mon âge. J'ai appris que la vie pouvait être dure, que le bonheur était difficile à avoir et même quand on réussissait à l'atteindre, il ne durait pas. Ma maman à un cancer depuis des années. Je sais, je sais qu'elle va mourir, qu'elle va aller au paradis. Désormais, je fais avec. Mais ce n'est pas pour ça que ça ne me fait pas de la peine. Au contraire, c'est dur de savoir que d'un moment à l'autre, tout peut basculer, tout peut s'arrêter, comme ça, d'un claquement de doigts. Mon papa, lui, il est partit. En ce moment, il n'est pas bien, il reste tout le temps à la maison avec mon frère, Jonathan. C'est pour ça que je viens, moi, pour montrer à ma maman que je l'aime, que je serais toujours là pour elle quoi qu'il puisse arriver et que quand l'heure sera arrivée, je serais là, pour prendre sa place. « Ne t'inquiètes pas maman, je ferais tout pour que papa et Jonathan soient heureux. Mais s'il reste une petite chance pour que tu restes avec nous, avec moi, alors saisit là, s'il te plait. Je ne veux pas que tu partes loin de moi. Je veux continuer à jouer à la poupée avec toi, je veux continuer de rire avec toi, je veux continuer de vivre avec toi. Je t'aime maman ». Même si je ne le montre pas beaucoup aux autres, je ne veux pas qu'elle s'en aille. J'ai trop besoin d'elle. Pour ma famille, je fais comme si tout allait bien, comme si j'étais forte. Mais je ne le suis pas. Je suis faible et vulnérable. « Nan ! Maman, reste, je t'en supplies, ne me laisse pas seule ! ». C'est trop tard. Je pleure, bien sur que oui. Mes larmes coulent sur son visage, et je viens déposer un baiser sur sa joue en guise d'au revoir. (...) Depuis ce jour, depuis cette minute, je m'occupe d'eux. Je fais tout pour qu'ils soient heureux, qu'ils aient une belle vie. Je me sacrifie, quelques fois, souvent. Ils ne me reste plus qu'eux et je ne les quitterais jamais. Et ça, même si mon père a sombré dans l'alcool, même s'il a perdu son travail, même si mon frère ne se rend pas compte de tous mes sacrifices, même si on n'a plus un sous. Alors j'ai pris un job, en plus de mes études. Ça ne me déplait pas car je sais que c'est bien, que c'est pour eux que je le fais.
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Je marche, les cheveux au vent, essayant d’oublier tous mes soucis. Une brume d’air frais vient se coller à moi et je me sens bien, transportée, dans un autre monde. Je sens que je peux faire ce que je veux, que je suis maître de moi-même, libre d’esprit. Que je n’ai plus toutes ces obligations envers les autres, que je peux tout simplement être moi. J’aime cette sensation, j’aimerais ne plus la quitter, faire en sorte qu’elle soit en moi pour l’éternité. Je me pose sur le sable, face à la mer, regardant et écoutant le bruit et le mouvement des vagues. J’observe l’horizon puis je ferme les yeux et je m’allonge, les bras le long du corps. Les battements de mon cœur ralentissent et je dis stop. Stop à mes problèmes, stop à cette vie qui n’est plus celle que je désirais au début, stop à tout. Mais malheureusement, je dois revenir à la réalité. J’ouvre mes yeux, me lève, vais à ma voiture et reprend la route, qui me conduit jusqu’à l’université. Là-bas, rien n’est pareil. C’est rempli de monde, de bruit, de vie. Mais avant, j’aimais ça. Avant lui, avant nous. Je ne sais même pas si à un moment donné il y avait un nous d’ailleurs. Avant, j’étais focalisée sur mes études, rien ne pouvait me faire dériver. Je ne pensais qu’à ça, jour et nuit, nuit et jour, à chaque instant. Je ne rêvais que d’une seule chose : réussir. Puis il est arrivé dans ma vie, lui, Andrea. Et là, je peux dire que j’ai tout oublié. La seule chose à laquelle je pensais et dont je pense toujours, c’est à notre relation. Chaque seconde, chaque souffle, c’était pour lui. J’agissais en fonction d’Andrea, je mangeais en fonction de lui, je dormais en fonction de lui, je lui appartenais. Je croyais vraiment que notre relation allait aboutir à quelque chose, qu’on allait vivre un pur bonheur ensemble et que ça durerait une éternité. Une fois arrivée à l’université, je me rappelle nos premiers instants passés ensemble, je me les remémore, ça me fait du bien. Je me dit que c’était la belle époque, que c’était simple, avant.
FLASH BACK
Putain, c’est vraiment trop beau ici ; je sens que je vais m’y plaire. C’est encore mieux que dans mes rêves. Je me dirige vers l‘entrée du premier bâtiment, je monte les escaliers, et j‘y suis. La porte de la salle de classe. Le grand amphithéâtre où je vais assister à mon premier cours de psychologie. C’est là que je croise le regard, son regard. Je ne sais pas qui sait, ce qu’il fait ici, à cet instant, mais je sais que je suis contente de l’avoir vu. Mon cœur bat plus fort, je ne peux m’empêcher de le regarder tendrement. Il m’intrigue, j’aimerais m’approcher de lui, le découvrir. D’un coup, je sens que je dois me reprendre, je détourne le regard, et fais comme s’il ne c’était rien passé. (…) J’essaye vraiment d’écouter, je me concentre, mais je n’y arrive pas, c’est trop dur. Il a envahit mon esprit, mon âme, mon corps. Je n’arrive pas à me l’enlever de la tête. Je vis pour lui. Je sais au fond de moi que ce n’est pas bien, de fantasmer sur un prof. Mon prof en plus. Je sais également que même s’il était intéressé par moi, rien ne pourrait se passer, c’est contraire au règlement. Oui, je sais tout ça. Mais c’est plus fort que moi. Je me dois de penser à lui, de rêver de nous deux, de vouloir être plus proche d’Andrea. Plusieurs fois, ça m’est arrivé, d’être à fond sur l’un de mes professeurs. Mais là, c’est différent, c’est complètement différent. Des sentiments commencent à naître, c’est bizarre. Je ne suis plus maître de mon esprit. Et je suis consciente que c’est strictement impossible de tomber amoureuse en ne connaissant pas la personne. Il faut du temps pour que l’on ressente quelque chose de fort. Franchement, je ne saurais expliquer ce qu’il m’arrive. A cause de ça, je loupe tous mes devoirs, ma première année ici devient une catastrophe. J’ai de nombreuses difficultés et ce n’est pas en l’ayant lui dans ma tête que tout cela va s’arranger. De plus, il m’a donné rendez-vous chez lui, pour un cours particulier. J’dois surement passer pour une nulle… D’un côté, c’est peut-être mieux, au moins je suis certaine que même si c’était possible, il ne pourrait rien se passer car il n’est pas intéressé par moi. Ouf, ça sonne. Enfin libérée. Je l’observe ; il parle à des filles. Je me dirige alors vers la porte. « Jazzlyn ! » Qu’est-ce qu’il me veut ? Il faut vraiment qu’il arrête de m’adresser la parole. Avec le temps, je sais que je serais encore plus accro à lui. Vraiment, faut qu’il arrête, qu’il fasse un effort. Je me retourne et essaye de faire ralentir mon cœur. « Oui monsieur ? ». Monsieur, ça fait drôle de devoir l’appeler comme ça. Dans ma tête, on a l’air si proches. « Pour le cours particulier… Vous faites quelque chose là ? ». Il n’a pas oublié. Je ne peux m’empêcher d’être contente ; contente de pouvoir passer du temps seul à seul avec lui, rien que tous les deux, comme dans mes rêves. Mais je sais que c’est mal. Oh et puis, je n’ai qu’à y aller, je verrais bien. « Non, je suis libre. On va chez vous ? ». J’y crois pas, d’avoir dit ça. J’aurais jamais pensé pouvoir dire cette phrase un jour. « Hum, oui, on sera plus tranquilles. Ma voiture n’est pas garée loin. Vous venez ? ». Bien sur que je viens. J’espère que ça va être bien. Un moment en tête à tête, rien que nous deux. Depuis le temps que j’attends ce moment. « Oui, oui ». On va vers sa voiture et on monte. Une vingtaine de minutes plus tard, on se retrouve chez lui, dans son salon et je m’assois. On comme à réviser quelques trucs puis il y a un blanc. Personne ne parle et on se regarde droit dans les yeux. Je plonge mon regard dans le sien et je suis bien, rassurée. Je m’approche de lui, et je l’embrasse. Mais putain, qu’est-ce que j’ai fais ! Je n’aurais jamais du. C’est mon prof merde. J’ai vraiment tout gâché. « Je…je, je suis désolé. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je ferais mieux d'y aller ». Sans rien ajouter de plus, je prend mes affaires en vitesse et me dirige vers la porte de chez lui. Mais avant même d’avoir eu le temps de partir, il me rattrape, me prend par le bras et m’embrasse, à son tour. Ce baiser, je ne pourrais jamais l’oublier. Je le regarde et n’ose rien dire. Je suis chamboulée. « Tu n’as vraiment pas à être désolé Jazzlyn. Reviens t’assoir avec moi, ne pars pas ». Je crois vraiment que je vais m’évanouir. Jamais je n’aurais pensé entendre ça, de sa bouche. J’ai tellement fantasmé sur lui, je croyais que ce n’était que mon imagination et que dans la vraie vie, jamais quelque chose comme ça ne pouvait se produire. Mais je me suis trompée, pour mon plus grand bonheur.
FIN DU FLASH BACK
Il m’ignore, il ne fait que ça depuis deux ans. A présent, je ne suis plus rien pour lui, à peine l’une de ses élèves. D’ailleurs, ce n’est plus mon professeur. Il enseigne toujours dans l’université, mais je ne l’ai plus comme professeur. Il l’a fait exprès, je le sais très bien au fond de moi. Mais je refuse de me l’avouer, ça me ferait trop de mal, de me dire qu’il ne veut plus de moi. J’étais tellement envoutée par son charme, tellement accro à lui, je ne peux pas, d’un coup tirer un trait. Lui, apparemment, il y arrive très bien et c’est ça qui me fait le plus de mal, qui me tue. Je ne comprends pas pourquoi il a eu ce changement d’attitude. Ca me rend triste, je ne sais plus comment agir face à lui. Je ne sais plus quoi lui dire. De toute façon, je ne le vois presque plus. Quand il passe, quand il marche devant moi, il ne m’adresse même pas un regard. Mais moi, je le scrute, je fantasme encore sur lui. Ça me détruit, cette histoire. Une grande partie de moi lui en veut terriblement. Mais l’autre ne peut cesser de l’aimer. Heureusement, à la fin de cette année, je vais quitter cette putain d’université. Heureusement. Je n’en pouvais plus de revoir tous ces endroits où je suis passée, heureuse, pensant à notre soirée. Heureusement, je ne reviendrais plus jamais ici, je vais désormais l’oublier. Je vais passer à autre chose. Je vais faire ma vie, la continuer. Heureusement.
(c) Misery Angel
PSEUDO ET/OU PRÉNOM : Some trust. AGE : 15 ans AVATAR : nina dobrev RÉGION : parisienne GROUPE : fucked AVIS SUR LE FORUM : sublime et magnifique j'ai d'ailleurs attendu sa réouverture avec impatience UN DERNIER MOT ? : j'aime les patates
Dernière édition par Jazzlyn Cartwright le Mer 16 Juin - 21:28, édité 2 fois
Elmi Brown-Parker
ELMI ♠ can't you just let me be ?
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Sujet: Re: JAZZLYN ♣ have a little patience Mer 16 Juin - 20:08
Bienvenue, bonne chance pour le rôle ;) !
Rusty Indie-Leroy
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Sujet: Re: JAZZLYN ♣ have a little patience Mer 16 Juin - 20:38
Kristen & Gemma merci
B. Andrea Silverstone
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Sujet: Re: JAZZLYN ♣ have a little patience Mer 16 Juin - 20:43
de rien & merci à toi pour ce scénario & merci pour le compliment, ça me fait super plaisir
B. Andrea Silverstone
Messages : 527 Date de naissance : 23/10/1993 Date d'inscription : 17/04/2010 Age : 30 JUKEBOX : LADY ANTEBELLUM ♦ I RUN TO YOU PSEUDO : STARSTRUCK CREDITS : SHIYA
Sujet: Re: JAZZLYN ♣ have a little patience Mer 16 Juin - 21:34
J'ai terminé même si c'est loin d'être génial
B. Andrea Silverstone
Messages : 527 Date de naissance : 23/10/1993 Date d'inscription : 17/04/2010 Age : 30 JUKEBOX : LADY ANTEBELLUM ♦ I RUN TO YOU PSEUDO : STARSTRUCK CREDITS : SHIYA
Sujet: Re: JAZZLYN ♣ have a little patience Jeu 17 Juin - 14:21
ian&nina (l). Bienvenue
B. Andrea Silverstone
Messages : 527 Date de naissance : 23/10/1993 Date d'inscription : 17/04/2010 Age : 30 JUKEBOX : LADY ANTEBELLUM ♦ I RUN TO YOU PSEUDO : STARSTRUCK CREDITS : SHIYA
Sujet: Re: JAZZLYN ♣ have a little patience Jeu 17 Juin - 18:03
comment t'as tout compris comme tu le vois, j'ai été trop absorbée, surtout que c'est cette nulle qui a gagné SERIEUX, françois méritait de gagner, il a trop progressé, puis sa compo dans nouvelle star ça continue, mamma mia, tout ce que j'aime breef, je m'égare là je lis ça dans un instant
Jazzlyn A. Cartwright
Messages : 95 Date d'inscription : 16/06/2010 PSEUDO : some trust CREDITS : psychozee ; teen.sorrow
Sujet: Re: JAZZLYN ♣ have a little patience Jeu 17 Juin - 18:20
ROBERT j'aime trop ton vava merci (: Ouais, j'étais aussi pour François, mais bon j'étais sûre que ça allait être Luce qui allait gagner donc j'ai pas été étonnée ;)
Sujet: Re: JAZZLYN ♣ have a little patience Jeu 17 Juin - 18:30
Welcome here & bonne chance pour le rôle
B. Andrea Silverstone
Messages : 527 Date de naissance : 23/10/1993 Date d'inscription : 17/04/2010 Age : 30 JUKEBOX : LADY ANTEBELLUM ♦ I RUN TO YOU PSEUDO : STARSTRUCK CREDITS : SHIYA
Sujet: Re: JAZZLYN ♣ have a little patience Jeu 17 Juin - 18:33
Ed merci Pas de problèmes, prends ton temps ;) & contente que tu aimes
B. Andrea Silverstone
Messages : 527 Date de naissance : 23/10/1993 Date d'inscription : 17/04/2010 Age : 30 JUKEBOX : LADY ANTEBELLUM ♦ I RUN TO YOU PSEUDO : STARSTRUCK CREDITS : SHIYA
Sujet: Re: JAZZLYN ♣ have a little patience Jeu 17 Juin - 18:39
Han merci beaucoup, j'suis super contente étant donné que je ne m'y attendais pas du tout t'inquiètes pas, j'essaierais de ne pas te décevoir Aimee merci, c'est gentil & désolé pour toi :/