| | let's burn again. MARLOWE | |
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+4Elmi Brown-Parker Raphaël C. Fitzgerald Antigone L. Hurley Marlowe Raleigh-Aberdeen 8 participants | Auteur | Message |
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Marlowe Raleigh-Aberdeen
Messages : 9 Date d'inscription : 17/06/2010 PSEUDO : orchestra.
| Sujet: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 13:15 | |
| (c) psychozee. MARLOWE RALEIGH-ABERDEEN - - - - - - - - - - - - - - - - - -
J'ai actuellement 24 ans, j'habite à San Francisco depuis mes dix ans. Je suis célibataire. Je suis né(e) le 12 février. Je suis serveuse. Si on me demande dans quelle classe sociale je suis je répondrais : aisée. |
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QU'EST-CE QUI A FAIT, DANS TA VIE, QUE TU SOIS UN FUCKER OU UN FUCKED ? Disons que j'avais tout pour être fucker, j'ai toujours eu d'excellente note, j'adorais l'histoire, les langues étrangères, je voulais être dans la communication ou alors dans le domaine de la culture, les musées tout ça. Quelque chose qui vit, qui bouge sans arrêt. Mes parents étaient géniaux, aimés et aimant; mais tout a changé il y a près de dix ans maintenant, alors que nous nous rendions à un repas de famille pour noël, nous avons eu un accident de voiture. Mes parents sont décédés. Et moi, je suis encore sur cette fichue planète avec des problèmes de mémoire. Je suis handicapée mentalement, j'ai du mal à trouver du travail... la vie est dure. J'ai pas un seul diplôme, alors je compense avec des soirées et des virées avec des amis même si ce n'est pas la meilleur chose à faire, sans doute. AS-TU DÉJÀ ÉTÉ DE L'AUTRE COTE ? Oui, comme je l'ai dit quelques phrases auparavant, avant mes quatorze ans j'étais une vraie FUCKER, parfaite, ou du moins sans difficulté majeure, tout allait bien. Tout, absolument tout. ADMIRES-TU LES FUCKERS ? Pas vraiment. EN réalité, je ne fais pas vraiment attention à toutes ces histoires, il y a des gens avec des moyens et d'autres sans, c'est injustes mais c'est comme ça. Il faut faire preuve de ruse et de manipulation pour nous, les fucked pour survivre dans un tel monde. Mais les fuckers ne sont pas tous des gros cons, prétentieux, et horriblement hautains. Ou pas. VIS-TU UNE HISTOIRE D'AMOUR A LA ROMEO&JULIET AVEC UNE PERSONNE DE L'AUTRE GROUPE ? Certainement pas, les histoires d'amour ne sont pas mon point fort. Je préfère m'amuser.
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Dernière édition par Marlowe Raleigh-Aberdeen le Jeu 17 Juin - 14:14, édité 6 fois | |
| | | Marlowe Raleigh-Aberdeen
Messages : 9 Date d'inscription : 17/06/2010 PSEUDO : orchestra.
| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 13:15 | |
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CLOSE YOUR EYES, CLEAR YOUR HEART, CUT THE CORD - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Mes yeux s'étaient ouverts lentement et y avaient laissé passer la lumière aveuglante de l'endroit où je me trouvais, allongée. Je ne savais pas où j'étais, mais je savais que j'étais là, réveillée, peut-être pour la première fois. Je savais que la lumière me brûlait et je ressentais quelque chose, quelque chose qui me faisait mal. Toute cette clarté m'éblouit, celle lumière me brûle les yeux, je le sais parce que j'essaie de les refermer, je le sais aussi parce qu'un liquide se met à s'évader de mon oeil et que je referme alors les yeux tentant à tout prix d'éviter la lumière blanche de pénétrer dans la porte de mon âme, j'essaie de la protéger cette lumière qui me fait tant mal. Mais je souris. Je souris parce que je vois, je souris parce que je ressens, je souris parce que je vis, je souris parce que je suis enfin réveillée, j'ouvre enfin les yeux. Mes lèvres forment quelque chose qui arrivent à faire naître en moi une sensation de bonheur certain. Je souris. Je ris, j'ai l'impression que mes lèvres remontent davantage et forment un coeur bombé de joie, mes lèvres se mettent à chanter, à crier, un cri si mélodieux me bourradant les oreilles, ce son me fait tellement mais m'entraine à rire de nouveau, me fait sourire bien plus que je souriais quelques secondes auparavant, quand je dormais. Je ne comprend pas tout ce qui se passe mais je ressens, je vois même si mes yeux sont fermés; j'ai bien trop peur de me brûler une nouvelle fois, mais pourtant je ris encore, j'entends mon rire, il est tellement beau: j'entends, je m'en brûle les tympans et alors j'ouvre les yeux pour voir et savourer, je revois cette lumière blanche et je souris, je ris, je cris, je hurle, je rugis, je m'envole, je jouis. Je me sens si bien, avec cette lumière me brulant les yeux et ce chant si vivant. Je sens alors quelque chose bouger, c'est moi oui mes mains, je sens que je bouge car la lumière qui m'aveugle semble s'atténuer, je referme légèrement les yeux car le côté de mon visage s'écrase brutalement sur quelque chose d'horriblement mou. Que c'est bon d'avoir la possibilité de sentir cette manière contre soi contre moi, sous moi; je sens enfin quelque chose, ça fait tellement longtemps. Je crie une nouvelle fois, je ne connais pas cet endroit, je ne sais pas où je suis mais l'odeur de l'air, la lumière, le son que je produis avec ma bouche et ma capacité de pouvoir me mouver. Je revis, je suis là, je vis, je me réveille enfin. Je crie une nouvelle fois, profitant de cette capacité incroyable de pouvoir s'exprimer, mais je ne sais faire que ça, de toute manière il n'y a que ça qui permet d'évoquer le bonheur qui me hante à cet instant même, je hurle de bonheur. appelez quelqu'un ! dépêchez-vous je ne la contrôlerai pas seule bien longtemps ! Je sens alors quelque chose me toucher le corps, c'est froid et cette chose semble me contrôler, elle m'empêche de bouger et je ne comprends pas pourquoi... pourquoi me touche-t-on ? Qu'est-ce qui me touche ? J'essaie de bouger aussi pour ne pas qu'on continue ces gestes désagréables qui nuisent éperdument à mon bonheur, je ne souris plus, je ne rie plus; je n'y parviens plus. Je ressens de la contrariété, de la colère, j'étais si heureuse, on me l'a ôté, pourquoi ? Ce qui me touchait alors semble se mettre à créer des sons exactement comme j'ai pu en faire, mais je comprends les mots, je les reconnais même si je ne saisi pas tout le sens de la phrase. mademoiselle Aberdeen je vous en prie calmez-vous, vous venez de vous réveiller. Tout va bien, vous allez très bien, calmez-vous maintenant ! Non, qui est-elle cette Aberdeen ? Pourquoi continue-on de me toucher ? Je comprends ce qu'elle vient de dire, des mots clés. J'aimais me combattre mais hélas je n'en possède pas la force, je n'y arrive pas, j'ai tellement peur de repartir, qu'on m'envoie à nouveau dans ce sommeil, j'ai besoin de nouveautés, ces découvertes par le passé, je glisse alors sur le côté, je ferme les yeux toujours pour ne pas regarder ce qui me fait déjà peur, cette voix sinistre, affolante. Je sens ce liquide chaud s'évader de nouveaux de mes yeux fermés, comment y arrivent-ils à s'échapper alors que mes paupières sont closes ? non ! calmez-vous ! mademoiselle ! J'ouvrais alors les yeux, je ne voyais plus que la lumière blanche qui m'aveuglait mais je percevais des formes, plusieurs lumières d'intensités différentes, et je voyais enfin que c'était une personne qui me retenait. D'ailleurs d'autres personnes vinrent me retenir, je pleurais, je criais, j'avais peur, je ne comprenais pas. Ils étaient clairs avec leurs vêtements blancs toutefois, ils étaient tout sauf rassurants. Ils ne ressemblaient guère à cette source éblouissante qui m'avait donné la sensation de vivre à nouveau, d'être là, et d'être bien. Je ne comprenais pas, j'ignorais où j'étais, ce que je faisais... ce que j'étais. Et alors je me rendormis, peut-être pour un moment, peut-être pour toujours.
Tout avait repris son aspect ordinaire, banal mais tout aussi merveilleux cependant. Je suis assise sur ce lit et les couleurs sont redevenues comme avant, j'arrive enfin à ouvrir et fermer les yeux sans que cela ne me fasse mal, sans que des larmes se joignent à ma peau si douce et d'aspect si naïve. Mes bras frêles entourent mes jambes et ma tête est posée contre mes genoux. Je ne sais pas ce que je regarde, la vitre peut-être ? La fleur superficielle déposée sur un support à côté de mon lit ? Mon drap changé ce matin, je ne sais pas, je connais cet endroit par coeur, je le sais mais je ne parvins pas à m'en souvenir après, je l'oublie, les minutes passent et je l'oublie même si je sais que je le connais déjà par coeur. Cette sensation me frustre horriblement car je ne sais pas mais je le sais, malgré moi. Alors, lorsque je ne m'en souviens plus, je regarde autour de moi et j'essaie de me souvenir ce dont je crois savoir sur ce que je suis en train de regarder: la vitre dans ma chambre, la plante en tissu déposée confortablement sur le support à côté de mon lit ou encore le drap si frais et si doux changé ce matin. Je m'appelle Marlow Raleigh-Aberdeen, je connais ce nom sans le connaître, mais je ne me connais pas. J'ai plusieurs fois écrit mon prénom et mon nom sur une feuille, je ne comprenais pas d'ailleurs pourquoi il était déjà écrit plusieurs fois. Je trouvais mon prénom trop long, et pourquoi cette lettre ? Pourquoi un 'w' devrait être là ? Et pourquoi deux noms ? Ce prénom me fit mal, je ne sus la cause de cette sensation, je ne le comprenais pas mais j'avais mal quelque part lorsque je le prononçais. Je ne voulais pas connaître ce prénom et ce qu'il avait pu entendre, voir, comprendre, non je ne m'appelle pas Marlowe, je suis incapable de me nommer ainsi.
Marlowe ? Cette voix grave me brûle, me coupe dans toutes ces tentatives à me souvenir de ce que je vois, je tourne légèrement la tête vers cette personne tellement gentille qui passe régulièrement me voir et qui me pose des questions, c'est mon docteur je crois... je me souviens de ça, j'arrive à me souvenir de lui, mais je n'aime pas qu'il m'appelle par ce prénom qui inspire l'horreur. bonsoir, docteur. Nous sommes le matin. Bonjour suffira. Comment te sens-tu ? Il s'approche alors de moi avec son sourire rassurant, je souris aussi. Je ne parle pas beaucoup depuis que je suis réveillée, je n'y arrive pas, je ne me souviens pas et j'ai peur de me souvenir. Le docteur alors posa sa main sur mon front, j'aime bien quand il fait ça et il le sait -je crois que c'est pour cette raison qu'il réalise ce geste d'ailleurs. Je souris de plus belle, heureuse. Je le regarde alors, ne quittant pas mon regard de ses prunelles claires. Il me regarde soudainement d'un air que je ne connais que trop peu, un air grave porteur de quelque chose de triste, je n'aime pas particulièrement apprendre quelque chose de triste, mes souvenirs bien trop flous m'en apportent suffisamment. Il s'assit alors lentement sur mon matelas, s'enfonçant à l'intérieur, comme s'il se faisait dévorer dans un lenteur et une douceur surhumaine... tu vas bientôt sortir d'ici. Mais je dois savoir quelque chose avant... cela fait plusieurs jours que tu es ici, tu ne réclames rien, n'as-tu besoin de rien ? Même pas une présence, nous t'observons, tu ne fais rien, de quoi as-tu envie ? Te souviens-tu de quelque chose Marlowe ? Où sont papa et maman ? Je ne m'en souviens pas, non mais je le lui ai déjà posé la question, je le sais sans le savoir, j'ai peur encore même si je souris naïvement, des étoiles dans les yeux, peut-être sont-ils en train d'attendre la fin de mon entretient avec le docteur ? « Tes parents et toi... vous avez eu un accident, tu ne te souviens pas de tout, ta mémoire a subi de graves dommages, tes parents... tes parents n'ont pas survécu. Je suis navré. » Il machina ces mots comme un discours qu'il répété tous les jours à la même heure. Mon sourit s'échappe alors de mes lèvres, comme s'il courrait vers ces membres de ma famille. Je crois que je vais pleurer, pleurer parce que je ne m'en souviens pas, pleurer parce que je ne sais rien, pleurer parce que je ne sais pas qui je suis ni ce que je serais. Pleurer pour tout, mais aussi pour rien, pour ce que c'est, ce que je suis. Je sais bien que c'est difficile pour toi... mais tu es forte. Je ne le savais mais peut-être devrais-je le croire ? Oui, le croire lui qui m'observait tous les jours, c'était la seule dont je me souvenais, sa visite quotidienne, je lui donnais une confiance aveugle, mais j'étais comme ça, quelque peu naïve du moins, c'est ce que je me prêchais à croire, je ne pouvais donner de nom sur moi-même à par mon prénom et mon nom de famille, des noms compliqués, car j'avais oublié, la fois où j'avais récité par coeur mes tables de multiplication, la fois où j'ai avoué à mes parents que je ne croyais plus au père-noël, si j'étais toujours vierge, si je préférais la pop au folk ? L'instrumentale au vocal ? J'étais effrayée à l'idée de ne pas savoir. Je répétais alors non-assurée à mainte reprises... Je dois partir... je vais partir... je dois partir...
Je les revoyais encore une fois, je ne revoyais que des fragments de ce moment, je hurlais de peur et de rage, toute cette rage qui m'avait hanté depuis que je m'étais réveillée dans ce putain d'hôpital. Je dormais, mais chaque sommeil était une souffrance, les rêves étaient si longs et si rapides à la fois, ils me brisaient le coeur, me brisaient la chaîne de ma vie, celle que je m'efforçais de faire vivre malgré mes trous de mémoires incessants. J'étais amnésique, j'avais toujours refusé d'y croire, persistant à chaque fois que je voyais quelque chose que j'avais déjà vu à me souvenir, qu'est-ce que j'avais pu penser en le regardant ?Je subissais différents trous de mémoires de la sorte même si j'avais réussi à m'arranger quelque peu. Les trous de mémoire qui me pesaient le plus sur le coeur étaient ceux de mon enfance, tous ces moments avant mes dix-sept ans, je ne me souvenais de rien, ou alors des images, des morceaux d'images, je n'avais pas l'impression que cela était ma vie, ma propre jeunesse, je ne savais même pas ce que c'était, je ne parvenais jamais à déchiffrer ces souvenirs comme je les avais d'ors et déjà oubliés. Je subissais le drame, la malédiction des bohémiens de Baudelaire, j'étais le poète mais je ne voyais ni le passé ni le futur, je ne savais pas ce qu'il y avait après ni avant, c'était le pire des châtiments: ne pas savoir et se souvenir sans voir. AAAARRH ma voix retentit dans l'ensemble de l'appartement, je suais, je tentais de fuir à mes propres souvenirs dans mon sommeil, mais me souvenir demandait un semblant de sacrifice c'était une véritable souffrance de voir sans savoir. Je fus alors secouée, quelqu'un tentait de me faire fuir de cet endroit qui était le rêve, la vie aujourd'hui morte de mes parents, mais plutôt le souvenir de les voir vivant, comme je l'étais. Puis j'entendais la voix de ma tante hurler en me secouant, mes yeux s'ouvrant lentement tandis que je me débattais. Je me réveillais alors en sursaut, j'étais assise, pleurais en hurlant. Elle, restait là, immobile me tenant le bras que je le ôtais furtivement de son étreinte. Marlowe... c'est moi, tu te souviens ? J'étais indignée, je la regardais alors, décontenancée. Je me souviens de toi ! Je ne suis pas non plus... va-t-en ! ma voix était faible, je me sentais faible et je ne supportais plus la présence de ma tante à mes côtés depuis une semaine. La tête dans mes mains, je tentai de me calmer, c'était la seule chose à faire et la seule chose que j'étais capable de faire après tout cela. Ma chère tatie elle, restait là à me regarder comme un animal. Je me sentais comme un animal de cirque, un singe observé de tous, elle scrutait le moindre geste que j'actionnais, tout, elle contemplait mon chagrin avec pitié, je détestais ce regard. La pitié. Et puis je me suis levée, les yeux rouges de colère, je l'ai poussée, virée de ma chambre, la balançant dans mon salon où elle s'était installée. J'ai jeté avec dégoût sur son visage des insultes toutes aussi cruelles les unes que les autres. Je voulais qu'elle s'en aille, je n'en pouvais plus qu'on me prenne comme j'étais, avec cet handicap. Je suis amnésique. Cela fait un peu moins de dix ans. Je m'appelle Marlowe Raleigh-Aberdeen. Mes parents sont morts et moi je suis partagée entre un monde perfectionniste et mon monde, tout aussi flou que le pays des merveilles. J'ai oublié une partie de mon passé, et j'oublie parfois mon présent. Je ne suis qu'un pauvre être humain avec une étiquette – un nom – et rien de plus que cela. Qui sait, peut-être qu'un jour je parviendrai à voir clair une nouvelle fois.
| CREDITS psychozee all.
Dernière édition par Marlowe Raleigh-Aberdeen le Jeu 17 Juin - 14:11, édité 6 fois | |
| | | Marlowe Raleigh-Aberdeen
Messages : 9 Date d'inscription : 17/06/2010 PSEUDO : orchestra.
| | | | Antigone L. Hurley
Messages : 142 Date d'inscription : 16/06/2010 JUKEBOX : SHE SAID - plan b. PSEUDO : Sunny CREDITS : © Sunny ; livejournal
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| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 13:21 | |
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| | | Marlowe Raleigh-Aberdeen
Messages : 9 Date d'inscription : 17/06/2010 PSEUDO : orchestra.
| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 14:00 | |
| merci beaucoup | |
| | | Raphaël C. Fitzgerald
Messages : 144 Date de naissance : 25/03/1993 Date d'inscription : 16/06/2010 Age : 31 JUKEBOX : OASIS - wonderwall PSEUDO : yesterday/PPVEP CREDITS : Avatar; © Misery Angel. Sign; © lj & Rufus Wainwright
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| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 14:01 | |
| Bienvenuueee . Ashley une deuxième fois *.*, bonne chance pour l'avatar . | |
| | | Marlowe Raleigh-Aberdeen
Messages : 9 Date d'inscription : 17/06/2010 PSEUDO : orchestra.
| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 14:13 | |
| Et bien je crois avoir fini ma fiche merci Raph. ROB= SEXSEX | |
| | | Elmi Brown-Parker ELMI ♠ can't you just let me be ?
Messages : 87 Date de naissance : 19/04/1992 Date d'inscription : 14/06/2010 Age : 32 JUKEBOX : a bad girl's lament • ke$ha. PSEUDO : MYMZ. CREDITS : MYMZ.
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| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 14:35 | |
| BIENVENUE 2e AGREENE ! (L'
Vu qu'il y en a deux, on doit attendre encore quelques jours le temps que l'autre ait terminé pour donner le verdict vu qu'on ne réserve pas les avatars ^^
Merci de ton inscription =D J'veux un lien (a) | |
| | | Marlowe Raleigh-Aberdeen
Messages : 9 Date d'inscription : 17/06/2010 PSEUDO : orchestra.
| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 14:44 | |
| Ah, d'accord, et bien j'attendrais alors merci. KRISTEN&ASHLEY c'est quasi-obligé. bon, même si je n'ai pas Ashley c'est pas grave on va se préparer ça. | |
| | | B. Andrea Silverstone
Messages : 527 Date de naissance : 23/10/1993 Date d'inscription : 17/04/2010 Age : 30 JUKEBOX : LADY ANTEBELLUM ♦ I RUN TO YOU PSEUDO : STARSTRUCK CREDITS : SHIYA
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| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 18:00 | |
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| | | C. Jarod Wakefield
Messages : 58 Date d'inscription : 17/06/2010 JUKEBOX : LADY GAGA ♦ Alejandro PSEUDO : sugarmafia CREDITS : (c) baby gone
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| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 18:28 | |
| Welcome here & bonne chance pour le rôle | |
| | | Marlowe Raleigh-Aberdeen
Messages : 9 Date d'inscription : 17/06/2010 PSEUDO : orchestra.
| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 19:01 | |
| merci à vous c'est chouette ANDREA tu jouais Ashley avant? cool bah ouais il nous faut un lien ! et puis IAN n'est pas mal non plus hein donc on est carrément O-BLI-GE d'avoir un lien et comme j'ai rien à faire, je peux même nous concocter quelque chose maintenant | |
| | | B. Andrea Silverstone
Messages : 527 Date de naissance : 23/10/1993 Date d'inscription : 17/04/2010 Age : 30 JUKEBOX : LADY ANTEBELLUM ♦ I RUN TO YOU PSEUDO : STARSTRUCK CREDITS : SHIYA
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| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 19:03 | |
| ouep, et mon lien "amoureux" était avec somerhalder, alors ça me rappelle des bons souvenirs MDR. ba écoute, si tu veux, moi je peux pas réfléchir parce que je vais aller écrire un RP, donc j'attend tes propositions | |
| | | Ziggy Cole-Gabriel -- we get higher!
Messages : 347 Date de naissance : 07/10/1994 Date d'inscription : 17/04/2010 Age : 29 JUKEBOX : neons tree ♦ animal PSEUDO : APPLESTORM CREDITS : folkounette
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| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 19:05 | |
| viiiiiiiite que tu sois validée, qu'on se trouve un mégalien. | |
| | | Marlowe Raleigh-Aberdeen
Messages : 9 Date d'inscription : 17/06/2010 PSEUDO : orchestra.
| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 19:09 | |
| Héhé chouette, c'est pour ça que t'as pris Ian, ou du moins en parti alors? Et c'est vrai qu'en général, on aime bien jouer nos fantasme je t'envoie des propositions magiques si elles me tombent dessus t'inquiètes. Bon rp Ziggy (Ziggy Stardust j'avais pas fait gaffe roooh David Bowie ) Bref. Oui, vivement qu'on trouve notre méga lien de la mort qui tue n'est-il pas ? | |
| | | B. Andrea Silverstone
Messages : 527 Date de naissance : 23/10/1993 Date d'inscription : 17/04/2010 Age : 30 JUKEBOX : LADY ANTEBELLUM ♦ I RUN TO YOU PSEUDO : STARSTRUCK CREDITS : SHIYA
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| Sujet: Re: let's burn again. MARLOWE Jeu 17 Juin - 19:12 | |
| ouais, jouer le plus orgasmique de tous les hommes, c'est plaisant yeaah, merci, bonne cogitation de cerveau ;) | |
| | | Ahàron B. Cutler
Messages : 57 Date d'inscription : 16/06/2010 PSEUDO : mzelletracy.
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| | | | Marlowe Raleigh-Aberdeen
Messages : 9 Date d'inscription : 17/06/2010 PSEUDO : orchestra.
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| | | | let's burn again. MARLOWE | |
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