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| Castiel ♦ Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle. | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Castiel ♦ Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle. Dim 2 Mai - 3:11 | |
| (c) black bird. Phèdre dites « Castiel » FORBES-WHOODES - - - - - - - - - - - - - - - - - -
J'ai actuellement 25 ans, j'habite à San Francisco depuis 6 mois. Je suis célibataire . Je suis né(e) le 01 mars. Je suis anthropologue. Si on me demande dans quelle classe sociale je suis je répondrais : aisée |
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QU'EST-CE QUI A FAIT, DANS TA VIE, QUE TU SOIS UN FUCKER OU UN FUCKED ? Des tas et des tas de choses, toutes insignifiantes. Parce que l'humain fais ça en permanence, des choses insignifiantes, qui n'ont aucune grandes valeurs. Alors j'aurais pu, dès mes années dorées, être cette putain de fucker, qui emmerde chaque personne qu'elle croise, qui insulte chaque femme au coins des bars de salope, celle qui obtient tout ce qu'elle désire par un regard. J'avais toujours voulu devenir un tyran, mais la vie en a choisis bien autrement. Et c'est moi qui me fit enculée par la vie. Foutue existence. Elle m'a torturée, sans réellement m'achever. Elle a préférée me regarder lentement pourrir dans un coin, souffrante, comme jamais je ne l'avais été. Ouai. Si je pouvais la croisée cette dame, je crois que ce jour là j'aurais été pire qu'une Fucker. AS-TU DEJA ETE DE L'AUTRE COTE ? Nous sommes tous d'un côté ou d'un autre, on n'est jamais que sur l'un ou que sur l'autre. C'est mathématiquement impossible. Nous sommes tiraillés entre une vengeance et ce que l'autre aurait dit, ou, nous sommes constamment en train de nous posez des questions, et paradoxalement, elle se contredise toutes. Alors à cet question, je dirais oui, sans hésité. Parce que je suis de l'autre côté à chaque seconde, sans pourtant franchir la limite que je me suis construise. ADMIRES-TU LES FUCKERS ? Je n'admire personne. Encore moins un groupe qui a si peu d'importance pour moi. A vrai dire ce ne sont que de simples personnes comme vous et moi qui se croient supérieur. Certain prétentieux, le crie haut et fort, et d'autres, le pense en secret. Finalement, ce ne sont que des personnes qui ont de la chance, pas plus. Et, en les nommant ainsi, ils prennent de l'assurance, se croient supérieur, s'admire eux-même, prennent des airs hautains et narcissique, mais ce sont des gens effrayés, des personnes qui ont peur. Et puis, que deviendront-ils après que leur chance ait tourné le dos ? Que feront-ils quand ce seront eux les fucked comme vous dites. Oui, vous n'avez pas la réponse, parce que vous même vous êtes fucked à ce moment précis. VIS-TU UNE HISTOIRE D'AMOUR A LA ROMEO&JULIET AVEC UNE PERSONNE DE L'AUTRE GROUPE ? La meilleur question à posé serais, normalement, est-ce que je vis déjà une relation de Roméo&Juliette à ce moment précis ? Et puis, je vous sermonnerais que l'amour qu'apporte Roméo à Juliette et vice versa mangue cruellement de passion et d'obsession. Qu'ils ne sont que deux humains avec rien de très particulier. Qu'on ne les connait parce que Shakespeare les a créés. En gros, c'est juste une fiction de romance par très réaliste. On en passerait une bonne trentaine de minute voir même une heure à retourner le sujet de cette question. À la fin, vous prendrez des airs d'un homme achevé, et vous me direz « Tout ça pour dire non ! » et moi, insouciante petite femme, je vous dirais « oui ! » Maintenant vous savez s'il faut ou pas posez la question.
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(c) Misery angel CLOSE YOUR EYES, CLEAR YOUR HEART, CUT THE CORD - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Petite, je ne savais pas s'il fallait parler à haute voix, afin que je mette mes idées en avant, mes préjugés, mes doutes, mes peurs. Ouai, je n'avais pas conscience du faites que tout cela aurait permis tellement de chose. Je me suis tût, jusqu'au jour où je n'en pouvais plus et j'ai explosée. Une véritable cocotte minute avait dit la plupart des personnes présentes. C'était juste moi qui parler. C'était juste l'expression de tout les sentiments qui me partageait. La peur, la souffrance, l'envie, l'insécurité. Et je n'avais pourtant voulu qu'une chose dès le départ, qu'on m'écoute si attentivement qu'on puisse entendre les vibrations de ma voix volaient à travers l'air ambiante de ces grandes pièces qui était mon chez moi. À l'arrivée de ces personnes étrangères, on m'a toute suite prise pour une psychopathe, une folle à liée. Il ne savait pas que dès mon plus jeunes âges, on m'avait forcé à me taire et à encaisser les coups dures sans jamais pleurer et rechigner quoi que ce soit. Il aurait été néanmoins préférable de me coudre la bouche avec du fil, de me couper les mains de faire tout en sorte que je ne dise pas la vérité, parce qu'à partir de maintenant vous allez savoir : La véritable histoire.
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- Spoiler:
(c) Misery Angel | PSEUDO ET/OU PRÉNOM : REDWINGS AGE : quinze ans. AVATAR : keira knightley RÉGION : île-de-france GROUPE : fucked AVIS SUR LE FORUM : UN DERNIER MOT ? : amen (a) |
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Dernière édition par P. Castiel Whoods le Dim 2 Mai - 15:38, édité 16 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Castiel ♦ Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle. Dim 2 Mai - 3:12 | |
| « Ta tué ton père ?! » Venait-elle de dire en criant si fort qu'elle le pouvait à l'intérieur même de la bibliothèque municipale de la ville de Bristol. Bristol, une ville d'Angleterre. Une terre natale. Je l'avais regardé d'une manière assez directe, et vu mon regard elle avait tout de suite compris qu'elle venait de faire une grosse connerie. Elle connaissait en rien l'histoire qui lui permettait de dire ça. Et là, à ce moment précis, vous vous demandez si réellement, j'ai commis ce crime. Je n'ai rien démentis. « Putain, mais tu peux pas la fermer ta gueule ? » Elle gesticulait dans tout les sens, et je l'avais très bien sentis, sont regard et son jugement pour moi avait complètement changé du tout au tout. J'étais la sociopathe dangereuse qui avait fais sombré la famille Whoods. Je finis ensuite par la calmer en me montrant un peu plus imposante qu'à l'habitude. Je m'appuyais sur la table, me levant ainsi. « Assis-toi et écoute. » Et puis, je fis de même, s'asseoir confortablement parce que je savais que d'une minute à l'autre j'aurais très bien plus partir au quart de tour. « Mais ta tué ton père, comment on peut tué quelqu'un de sa propre famille ? » Je m'humectais les lèvres, et fit ce bruit qui l'a stoppa net. Un espèce de rappel à l'ordre. « J'avais dix-neuf ans. Et je vais passé pour la criminelle, mais ce n'est pas à moi qu'il mettre les tords de cette histoire. C'est pas moi qui nous tabassait le soir en rentrant, qui violait ma mère parce qu'il en avait envie, celui qui voulait me marier de force avec un bouffon de son espèce. OK ! Alors, si tu veux plus de détails sur le pourquoi je l'ai tué. » « Alors tu l'a vraiment, réellement tué. Je pensais que je délirais, que c'était un rêve.. » Je soupirai exaspérer de son attitude enfantin à cette situation. Je l'a regarda, sans l'ombre d'une expression et lui dis : « Tu veux un café, ou un truc à manger, que je te raconte mon histoire parce que t'a pas l'air de vraiment comprendre, Berlioze. » Elle fit un Oui de tête. Elle savait que je n'étais pas dangereuse, et que je ne lui ferais aucun mal. Surtout pas à elle, ma meilleure amie. Je rangeais chaque affaires à leurs places, et pris tout en main. Nous allions chez moi prendre un café, ceux dont je raffolais. Adepte de la caféine, j'avais un stock pas possible dans mon armoire. Et c'était souvent chez moi qu'on prenait le café . Nous nous assîmes sur le canapé blanc en tissus. Mon bol de caféine rempli dans les mains. Une source de chaleur alors que dehors soufflait un petit vent frais. « Alors ? » me fit-elle. « Alors. » lui répondis-je. Personnellement, je n'avais pas spécialement envie de lui parler de cette grande histoire qu'étais ma vie. D'une parce que ce n'était pas trop mon genre de raconter mon passé et de deux, parce que l'image qu'elle aurait eu de moi changerait à jamais. Et j'avais toujours voulu qu'on me traite comme quelqu'un de normal. Vous voyez le genre, pas l'extra-terrestre du quartier. « Bon, tu sais où je suis née et dans quel famille. Mais tu sais pas qui ils étaient. Et ça faisait la plus grande différence. De nom, on connait les Whood pour leurs friques, leurs réputations de sainte-nitouche, et de nobles. Mais ce qu'on sait pas, ou du moins, vous. C'est que mon père a toujours était le gros connard de la famille. Si je peux encore appeler ça mon père d'ailleurs. Il rentait chaque soir souvent saoul et se mettait à frappé ma mère assez violemment, un jour, il lui a même ouvert le crâne, et le lendemain, pour qu'elle ne porte pas plainte, il lui a acheté la boutique entière de rose rouge, ainsi qu'un diner et un truc de massage je sais plus quoi. Alors ça à continuer un très grand cercle vicieux, et puis un jour je suis rentrée, et je l'ai vu allongé sur le sol, gisant là, alors que mon père était en train de cuvé. A partir de ce moment-là, j'ai compris que mon père n'était qu'un enfoiré de première, parce qu'il était arrivé jusqu'à la tuée. Et vu que j'étais sous sa tutelle jusqu'à que je me casse de son appartement, j'ai du vivre avec. Il m'a touchée, oui, mais contrairement à ma mère, j'ai ripostais. J'étais pas plus forte que lui, mais j'arrivais facilement à le détourner de son but. Ça me valait un bleu et c'était vite passé. Et puis trois ans sont passés, jusqu'à que l'homme que je connaissais s'est éteint dans un accident. À partir de là, je suis devenue plus violente, à chaque fois qu'il s'en prenait à moi, il recevait des coups dignes de mon nom. Un jour, je l'ai même envoyé à l'hôpital pour fracture. Et un jour j'en ai eu marre, et sur le coup de la colère, je ne me suis pas contrôlé et j'ai frappée, jusqu'à qu'on viennent me tirer de là. Il était mort sous mes coups, comme ma mère sous les siens. Tu peux me croire cruelle. Sanglante et tout les foutues adjectifs ce rapportant à la violence. Mais c'est pas moi qui à baisé toute ma famille en leurs infligeant une existence minable. » Elle était sans voix. Abasourdi par mes propos, en même il y avait de quoi. Mais la seule chose qu'elle put demander, la seule chose qu'il ne fallait pas poser. « L'homme que tu connaissais ? Comment ça ? » Je soupirais, prenant une gorgée de ce breuvage si sacré à mes yeux. « L'homme avec qui j'étais mariée. Jonathan Forbes. » Elle aurait pu continuer avec une série de question, si elle avait pas suivis mon regard. Un regard livide, qui n'éprouvait aucun sentiment, ou du moins ne laissait paraître plus rien, parce qu'intérieurement, je n'avais qu'une envie fondre en larme, ce qui m'étais interdit.
On ne comprend pas forcément les intentions de chacun. Leurs réactions, quels qu'elles soient, restes bel et bien inattendu. On pense connaître quelques personnes sur le bout des doigts, mais il n'en ai rien. Rien à quoi s'accrocher. Parce qu'un jour, ces personnes là nous déçoivent. Et malheureusement, il est trop tard, le mal est déjà fait. « Cette article est juste, inhumain. Je ne suis pas narcissique et encore moins hautaine; je vois pas l'abruti qui a pu écrire une tels connerie. » Avais-je dis en tenant l'article qui était apparu pour mes dons de photographie que je laissais d'ailleurs apparaître à la page 6 de ce journal. J'étais, comment dire, oui, un peu célèbre à Bristol. J'étais reconnue en tout cas, et pas forcément pour mes talents d'anthropologiste, non, pour mes choses simples. Piano, appareil photo. « L'abruti qui a écrit cet article se présente : Jonathan Forbes. Enchanté, Mademoiselle. » Je me retournais, assez gênée par la présente de celui qui me qualifiée d'hautaine en secret et narcissique par les projets menés. « Enchantée. » Je murmurais seule dans mon coin qu'il était au moins poli, et il fallait le dire assez mignon dans l'ensemble. Mais, assez susceptible je me braqua dans mon coin, en lui disant : « Monsieur Forbes, serais-je trop hautaine pour vous demandez qu'est-ce qui vous a pris d'écrire sur moi ? » « Oh non, Mademoiselle, mais vous seriez bien embêtés de connaître la réponse. » Me répliqua t-il. Il savait trouvé ses mots, et j'adorais ses grandes phrases parfaitement construite à la nouvelle bourgeoisie française. Je le regardai, ou plutôt le dévisagea. J'étais étonnée de connaître l'homme qui au départ, ne me plaisait guère pour ses phrases piquantes, arrogante et blessantes, pour ensuite devenir au fil des rendez-vous que nous nous donnions, l'homme qui partageait ma vie. Bien que mon père ne nous avait donné l'approbation, j'étais contrainte de rester encore chez moi. Mais je n'attendais qu'une chose, qu'enfin nous puissions vivre ensemble et heureux. Et puis un jour en rentrant du boulot, juste avant de rentrer chez moi, je passais par chez lui. Ayant déjà les clés de notre futur chez nous, j'entrais, lançant par la suite les clés et mes affaires sur le canapé de l'entrée. Étrangement, je le savais. Il s'était passé quelque chose. L'odeur, l'air ambiante, tout avait changé. Je criai son nom : « Jonathan » à travers toute la pièce, mais aucune réponse ne me parvenu. J'avançais, aussi lentement que possible redoutant la prochaine scène que je verrais. Et là, comme moi vous ne souhaitez qu'une chose, qu'il soit dans le lit avec une de ces pétasses ramasser dans la rue. Et dieu sait combien j'aurais voulu que ce soit ça. L'odeur était celle de la sueur, ont s'étaient battu ici et puis l'air ambiante était lourde et sentait spécialement le corps humain en décomposition. Tout les médecins légistes et anthropologue vous le dirons, nous savons tout de suite quand la mort est présente. Et je l'a sentais, sans vouloir la sentir. J'étais dans le couloir qui menait à notre chambre et je savais quand entrant dans cette chambre, je verrais le corps de mon époux en décomposition, gisant par terre ou sur le lit, mort. Éteint de toute vie en lui. Sans aucune expression. Je n'étais pourtant juste pas passée le voir deux jours. Deux jours sans contact. Ils nous arrivaient parfois de ne pas se parler pendant deux longues semaines, et nous revenions intactes prêt à s'aimer encore plus. Mais là, je le savais, avant même de poser mes yeux sur son cadavre. Et quand ce fut le cas, après avoir appelé une ambulance, je m'allongea près de lui, ma tête sur son bras posé délicatement sur le sol, comme ci elle tenait ma tête depuis toujours. À ce moment là, je n'ai plus pensé à rien, les tics de savoir immédiatement la mort d'un cadavre n'était pas apparu, celui de regarder partout voir s'il n'y a pas quelque chose de suspect. Non, j'étais calme et reposé, saine d'esprit. Je nous imaginez dans l'herbe d'un champs de coquelicot, quelques part où personnes ne nous atteindrez. Nous étions deux contre le monde. J'ai eu le droit à mes cinq minutes de tranquillités, d'amour. Il était partit, et une seule larme avait coulé, le moment où les ambulanciers sont arrivés et mon délicatement portés sur le lit. Je le regarda s'en allé loin de moi. Comme j'épiais sa venue sous terre lors de son enterrement. À partir de ce moment, j'ai étais la baisée de la vie, l'oubliée de la distribution du bonheur, la mal-aimée, l'handicapée de tout sentiments. On peut dire que la vie m'a bien enculée. Oui, on peut le dire.
Dernière édition par P. Castiel Whoods le Dim 2 Mai - 16:23, édité 8 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Castiel ♦ Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle. Dim 2 Mai - 4:10 | |
| bienvenue bonne chance pour ta fiche. |
| | | Invité Invité
| | | | B. Ixane Caldwell-Kane
IXANE ♦ Il n'y a pas de règle en amour, deux coeurs s'aiment. point .
Messages : 281 Date de naissance : 07/04/1995 Date d'inscription : 17/04/2010 Age : 29 JUKEBOX : ♦ un peu de paix, ça fait du mal ? Je tiens à ne pas être sourde *out* PSEUDO : ♦ LEAVESDEN CREDITS : ♦ PSYCHOZEE
HEY SOUL SISTER ! ♣ carnet d'adresse : ♣ j'suis plutôt ...:
| | | | Ziggy Cole-Gabriel -- we get higher!
Messages : 347 Date de naissance : 07/10/1994 Date d'inscription : 17/04/2010 Age : 30 JUKEBOX : neons tree ♦ animal PSEUDO : APPLESTORM CREDITS : folkounette
HEY SOUL SISTER ! ♣ carnet d'adresse : ♣ j'suis plutôt ...: FUCKER
| Sujet: Re: Castiel ♦ Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle. Dim 2 Mai - 11:15 | |
| Nous faudra un OVERMEGALIEN . Bonne chance pour ta fiche. Keira réservée. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Castiel ♦ Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle. Dim 2 Mai - 12:50 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Castiel ♦ Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle. Dim 2 Mai - 13:04 | |
| Bienvenue Miss |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| | | | R. Weenie Whoods
Messages : 419 Date de naissance : 23/10/1993 Date d'inscription : 17/04/2010 Age : 31 JUKEBOX : CHRISTINA AGUILERA ♦ NOT MYSELF TONIGHT PSEUDO : STARSTRUCK CREDITS : AURELIE
HEY SOUL SISTER ! ♣ carnet d'adresse : ♣ j'suis plutôt ...: FUCKER
| Sujet: Re: Castiel ♦ Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle. Dim 2 Mai - 16:26 | |
| C'est parfait, je te valide (aaa) Bienvenue parmi nous | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Castiel ♦ Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle. | |
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| | | | Castiel ♦ Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle. | |
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