♦ Guillaume Théophile Gauthier ♦

(c) young folk.

GUILLAUME THÉOPHILE GAUTHIER
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J'ai actuellement 24 ans, j'habite à San Francisco depuis quelques temps, 10 ans à peu près. Je suis célibataire à la recherche de la perle rare . Je suis né(e) le 04 Avril à Paris. Je fais des études de Littérature, avec des options artistiques ou je suis Galleriste débutant, on teste mes capacités pour l'instant. Si on me demande dans quelle classe sociale je suis je répondrais : Aisée, je suis de France et vie parfaitement bien à San Francisco

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QU'EST-CE QUI A FAIT, DANS TA VIE, QUE TU SOIS UN FUCKER OU UN FUCKED ? Vous pouvez répéter la question s'il vous plait ? Quel langage de châtier...Bref, je suis plutôt un "Fucker", je n'oserais même pas devenir un "Fucked" car, c'est pour les personnes qui aiment cela. Je ne prends pas de plaisir à l'être mais, je ne rabaisserais pas pour autant à ce statut de faiblesse...
AS-TU DEJA ETE DE L'AUTRE COTE ? De l'autre côté du miroir ? Non, absolument pas mon cher Walson...On ne me la fait pas à moi...
(question pour fuckers) MEPRISES-TU LES FUCKED ?Non, je m'en contre fiche. Ils font leur vie et puis, s'ils aiment ça, pour certains, c'est leur problème. Ils doivent le résoudre afin de mieux vivre. C'est un combat auquel la victoire doit être faite d'urgence avant que le gong ne retentisse...
(question pour fucked) ADMIRES-TU LES FUCKERS ?Non plus. J'en suis peut-être un mais, la vie m'a souri naturellement, je ne me suis point battu. Comme si de rien était, j'ai atteint un point de non retour. Je mène une vie normal, il y a plus de haut que de bas. Je n'ai aucun problème et je ne me plains pas... Les Fuckers se servent trop de leur pouvoir la plupart du temps, la maîtrise de leur puissance doit être à revoir...mais, ils font ce qu'ils veulent !
VIS-TU UNE HISTOIRE D'AMOUR A LA ROMEO&JULIET AVEC UNE PERSONNE DE L'AUTRE GROUPE ? Cela se pourrait bien... Je rêverais d'être Roméo. Que ma Juliette soit mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour. J'en rêverais bien. Il y a cette fille, cette inconnue qui m'obnubile alors qu'une seule phrase fût échangée... Elliot...

(c) Misery angel

CLOSE YOUR EYES, CLEAR YOUR HEART, CUT THE CORD
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"Ce qui m'intéresse, ce n'est pas le bonheur de tous les hommes, c'est celui de chacun."



« Mon grand ami Wildy, je t'écris aujourd'hui une histoire, une histoire que je ne récite qu'à très peu de personnes, même pas à mes amis les plus proche car, je ne suis pas du genre à crier mon passé, présent et futur sur tous les toits de la ville. Je ne suis qu'un simple écrivain qui aime écrire ce qu'il pense, qu'il pense que tout n'est que fumisterie dans la vie, tous les humains sont-ils vraiment aussi bêtes et naïf ? Ils ne veulent voir que ce qu'ils veulent voir, ils ne prennent même pas la peine d'ouvrir les yeux et dépasser le bout de leur petit nez crochu. Bandes d'idiots sans scrupules, ils ne connaissent pas le monde, ce sont des aveugles. « Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois », j'aime ce proverbe d'Erasme. Je me rends compte que, on juge très facilement les gens, parce qu'ils ont un physique désavantageux, ce dernier sera forcément idiot et un esclave d'un homme plus fort que lui. Faux, généralement c'est quelqu'un d'intelligent mais, le conduisant à une possible vengeance vis-à-vis de la personne qui le fait souffrir. Ensuite, la bimbo, vous savez, cette belle grande blonde platine à la poitrine opulente, disant à tous les plus garçons « y a du monde au balcon et si vous veniez ? ». Généralement, ce sont de belles salopes ou parfois, ce sont des filles très simples, banales qui rêvent d'une vie meilleure mais, cette pauvre petite est née avec un corps de déesse Aphrodisiaque. Et il y a, le beau goss, l'homme cupide qui aime se faire toutes les jeunes filles alors qu'il cache un terrible secret : c'est encore un petit puceau. Schémas classiques. On juge trop ou pas assez pour certains. Moi, mon petit Wildy, je m'en fiche pas mal de tout ça, j'ai toujours fait ce qu'il était bon de faire : vivre ma vie sans être importuné par un million de préjugés. Je n'ai jamais vraiment été compliqué dans mes relations, surtout avec les femmes. Comme tout homme qui se respecte, j'aime coucher avec les femmes qui me plaisent, qui m'attirent et qui dégagent cette passion fille, cette terrible envie de faire l'amour avec un inconnu mystère. J'ai toujours été rempli de mystères, quoi qu'il arrive, je suis le genre d'homme qui attire beaucoup de femmes, sans me vanter. Au lycée, j'étais populaire auprès de beaucoup de demoiselles, parce que je ne faisais pas de sport, j'étais l'intelligent, classe qui lisait des romans classiques. Mon plus beau modèle reste Dorian Gray, un homme parfait qui voulait vivre éternellement, il avait tout à ses pieds et n'avait aucune limite, il poussait tout son corps à la limite. Je ne suis pas vraiment comme ça mais, le charisme de cet homme était égal au mien. J'entretenais à mon lycée plus de bonnes relations auprès de mes professeurs, que les élèves de ma classe. Pas que je m'entendais pas avec eux mais, il n'avait pas cette passion dévorante pour la littérature et l'art que j'avais. C'était de l'aversion pour eux, alors qu'ils voulaient devenir des écrivains ou des artistes de renommée mondiale. Toujours sourire en coin, cette histoire et ces mythes qui se sont forgés à leur sujet me faisait délirer au plus haut point. On ne me comprend pas beaucoup quand je parle, on dit que je suis plutôt « vieux jeu », c'est parfois gentil de me le dire mais, c'est souvent péjoratif. J'essaye de m'adapter au monde dans lequel je suis né, on baigne dans le modernisme. J'ai un portable, un ordinateur, j'ai tout de dernier cri à la maison. Mais, mes faits et gestes font qu'on dirait que j'ai l'âge d'être un grand-père. C'est un peu dommage, je suis poli auprès des femmes, être raffiné et élégant avant de leur proposer subtilement de coucher avec moi. Je n'aime pas être direct après tout, c'est ce qui fait de moi un homme poli et honnête. Quand je vois une femme, j'aime l'analyser avant de me dire « je vais coucher avec elle ». Il doit y avoir ce petit plus en elle qui me pousse à là désirer au point de passer à l'acte. C'est ce que faisait toujours mon père d'ailleurs, avant de rencontrer ma mère. Mon père est un français pure souche, Gauthier. Il a des racines nobles et a toujours vécu dans le luxe et la volupté. Il a été à bonne école. J'ai hérité de son caractère calme, doux et élégant. Il aime le jeu tout comme moi. Je ne l'ai pas dit ? Honte à moi, j'adore les jeux, les jeux de hasard comme le Poker ou une bonne partie de Black Jack. Je ne mise pas beaucoup, je fais avec tout avec modération quand il s'agit de ça. La seule chose où je suis sûr de dépenser tout mon argent : c'est l'achat de livres. Je pourrais acheter une bibliothèque si j'en avais envie, j'ai les moyens. Pour revenir à mon père, il a trouvé la perle rare il y a de ça longtemps, il m'a dit que c'était long de la trouver. Parfois, cela est dû au hasard, on la rencontre souvent durant un moment d'inattention et elle vous percute de pleins fouets. D'ailleurs, quand j'y pense, cette fille qui m'a percutée dans la rue, cette Elliot. C'est ce qui était arrivé ? Wildy, j'ai été aveugle, je n'ai même pas remarqué ça. C'est peut-être pour cela que j'ai tellement envie de la revoir, je ne suis pas amoureux mais, j'ai envie de la connaître. Peut-être que j'ai été dur avec elle, trop direct, c'est la première fois que ça m'arrive. J'ai proposé un café à cette inconnue sans prendre le temps de la comprendre. La preuve : elle a filé en vitesse. Je m'en veux terriblement, c'est affreux. Savais-tu que j'en rêve la nuit ? Deviendrais-je un peu trop « gaga » comme on dit ? Comment la retrouver dans cette grande ville de San Francisco ? Si je traîne dans des endroits branchés et plutôt jeune, peut-être qu'elle y sera. Je dois me ressaisir au plus vite. Wildy, je dois te laisser, j'ai des livres qui m'attendent à la bibliothèque Charleston, j'ai découvert cette charmante librairie l'autre jour, j'y ai dévoré trois livres dans la même journée, incroyable non ? Sur ce, je te laisse mon ami. Il me faut fumer une cigarette et boire un bon café. De l'air, y a que ça de vrai...Au revoir Wildy. »